Le Tour du Monde des Vulnérables – Épisode 10 : Le monde vulnérable (avec Olivier Hamant)
Thomas et Sam n’ont peut-être pas gagné le Vendée Globe… mais ils sont rentrés à bon port – et c’est déjà une sacrée victoire. Thomas et Sam ont remonté le chenal à quelques heures d’intervalle, samedi 25 janvier. C’est maintenant notre Tour du Monde des Vulnérables qui touche à sa fin : plus de quatre-vingt cinq mille personnes s’y sont connectées. À toutes et à tous, un IMMENSE MERCI pour votre temps, votre engagement, vos retours. Merci d’avoir partagé ce Tour du Monde avec votre famille, vos amis ou vos collègues pour faire grandir l’idée que la vulnérabilité est aussi une force.
Aujourd’hui, nos sociétés sont ivres de performance. L’obsession de l’optimisation nous poursuit jusque dans nos trajets en voiture ou dans l’organisation de nos vacances. La pause, le simple ralentissement sont parfois vécus comme des échecs.
Sauf que dans le monde naturel, la performance n’existe pas vraiment. La vulnérabilité est la norme et la robustesse est le mode de fonctionnement principal. C’est une question de cycle : le guépard peut courir très vite, mais pas longtemps ; à l’explosion de vie du printemps et de l’été, succèdent le repos de l’automne et de l’hiver…
Vouloir tout optimiser et être au maximum tout le temps conduit à créer des fragilités. Le monde vulnérable est le seul qui sera capable de relever les défis d’aujourd’hui et de demain.
Comment ? Pour le savoir, lisez le tout dernier épisode du Tour du Monde des Vulnérables.
Chercheur en biologie végétale, Olivier Hamant s’inspire du vivant pour repenser nos modèles de société. Sorte de La Fontaine moderne, il réinvente la fable du chêne et du roseau pour nous rappeler la distinction entre force et robustesse. Car oui, on peut être vulnérable ET robuste ! C’est même tout le principe… Pour comprendre comment, découvrez son témoignage.
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